Animé par Laurent Desplancques
À partir d’un thème choisi en lien avec certains spectacles, la discussion s’engage autour d’un verre de vin, et, en toute convivialité, la philosophie « à hauteur d’homme » vient pimenter ou adoucir nos échanges... Cet exercice d’intelligence collective vous tente ? Les apéros-philo du Pilier vous attendent !
La première chose un peu effrayante chez cet immense penseur allemand du XIXè siècle c’est l’orthographe de son nom !
Ensuite, lorsqu’on ne le connaît pas bien, c’est le rapprochement avec l’idéologie nazie qui peut causer des sueurs froides à ceux qui souhaitent approcher ce grand fauve indomptable. Nous verrons qu’il est presque impossible de rapprocher les deux sauf pour les esprits les plus étriqués.
C’est souvent parce ses concepts sont mal compris (intentionnellement ou pas) que Nietzsche à fait l’objet d’autant d’interprétations voire de falsifications de ses pensées. Il faut dire que souvent, il y met du sien en usant de métaphores, d’aphorismes (apophtegmes ?) et autres formes poétiques dans ses ouvrages comme Ainsi parla Zarathourstra.
Rassurez-vous ! C’est par quelques-uns de ses aphorismes les plus célèbres tels que « Deviens ce que tu es » ou « Ce qui ne me tue me fortifie » que nous explorerons les concepts nietzschéens de Surhomme, d’Éternel Retour ou de Volonté vers la puissance. Chacun pourra alors puiser dans sa culture musicale, cinématographique ou littéraire pour s’apercevoir qu’on a tous en nous quelque chose de Friedrich Nietzsche !
À Turin en janvier 1889, Nietzsche perd l’esprit (qu’est-il devenu cet esprit ? Ça pourrait faire un bon sujet de bouquin…). Un vin de la région de Turin nous fera soit tourner la tête soit éclaircira nos pensées…